Citations de Alfred de Musset (sethmessenger.fr - Quelques nouvelles courtes pour vous évader).

#25146
O baiser ! mystérieux breuvage que les lèvres se versent comme des coupes altérées !

Alfred de Musset
(Confession d’un enfant du siècle)

#25147
On est souvent trompé en amour, souvent blessé, souvent malheureux, mais c’est moi qui ai vécu, et non pas un être factice, créé par mon orgueil.

Alfred de Musset
(Lettre)

#25148
La poésie est si essentiellement musicale qu'il n'y a pas de si belle pensée devant laquelle le poète ne recule si sa mélodie ne s'y trouve pas.

Alfred de Musset
(Poète déchu)

#25149
Un compliment vaut un baiser.

Alfred de Musset
(On ne badine pas avec l'amour, 1834)

#25150
Grèce, ô mère des arts, terre d'idolâtrie,De mes voeux insensés éternelle patrie

Alfred de Musset
(Premières poésies)

#25151
Arrive-t-il quelque bonheur ?Vite, à sa mère on le raconte ;C’est dans son sein consolateurQu’on raconte ses pleurs ou sa honte.

Alfred de Musset
(A ma mère)

#25152
Avec de la mémoire on se tire de tout.

Alfred de Musset
(Namouna)

#25153
Tu trouveras, dans la joie ou dans la peine,Ma triste main pour soutenir la tienne,Mon triste coeur pour ecouter le tien.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25154
Ma mère, à toi je me confie.Des écueils d'un monde trompeurÉcarte ma faible nacelle.Je veux devoir tout mon bonheur A la tendresse maternelle.

Alfred de Musset
(A ma mère)

#25155
Il faut être ignorant comme un maître d’écolePour se flatter de dire une seule paroleQue personne ici-bas n’ait pu dire avant vous.

Alfred de Musset
(Namouna)

#25156
Les larmes du passé fécondent l’avenir.

Alfred de Musset
(Sur la naissance du comte de Paris)

#25157
Dans une journée aussi belleMes amis, chantons en "chorus"A la tendresse maternelle.

Alfred de Musset
(A ma mère)

#25158
Il est doux de pleurer, il est doux de sourire Au souvenir des maux qu'on pourrait oublier.

Alfred de Musset
(La Nuit d’octobre)

#25159
Où va l'homme ?Où son coeur l'appelle.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25160
On dit qu'il n'y a rien de si rapide qu'un sentiment d'antipathie.

Alfred de Musset
(La Confession d'un enfant du siècle)

#25161
Pourquoi, dans ton oeuvre céleste,Tant d'éléments si peu d'accord ?

Alfred de Musset
(L’Espoir en Dieu)

#25162
Rien n'appartient à rien, tout appartient à tous.

Alfred de Musset
(Namouna)

#25163
Une maîtresse aimée est si près d'une soeur !

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25164
C'est dans le mois de mars que tente de s'ouvrirL'anémone sauvage aux corolles tremblantes.

Alfred de Musset
(A la mi-carême)

#25165
Quelle misérable chose que l’homme ! Ne pas pouvoir seulement sauter par sa fenêtre sans se casser les jambes ! Être obligé de jouer du violon à dix ans pour devenir un musicien passable ! Apprendre pour faire une omelette !

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25166
Blessures du coeur, votre trace est amère ! Promptes à vous ouvrir, lentes à vous fermer.

Alfred de Musset
(Le Saule)

#25167
Une femme, c'est une partie de plaisir ! Ne pourrait-on pas dire, quand on en rencontre une : voilà une belle nuit qui passe ?

Alfred de Musset
(Caprices de Marianne)

#25168
Une sentence de mort est une chose superbe à lire à haute voix.

Alfred de Musset
(Les Caprices de Marianne)

#25169
Où le plaisir ne coûte rien, la jeunesse n'a rien à perdre.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25170
Le coeur d'un libertin est fait comme une auberge, on y trouve à toute heure un grand feu bien nourri.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25171
Qui peut lécher peut mordre, et qui peut embrasser peut étouffer.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25172
La fortune, pour moi, n'est que la liberté.Elle a cela de beau, de remuer le monde,Que, dès qu'on la possède, il faut qu'on en réponde,Et que, seule, elle met à l'air la volonté.

Alfred de Musset
(La Coupe et les lèvres)

#25173
Tout s'en va comme la fumée,L'espérance et la renommée.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25174
Ainsi va le monde ici-bas.Le temps emporte sur son aileEt le printemps et l'hirondelle,Et la vie et les jours perdus

Alfred de Musset
(A Juana)

#25175
Qui vit sans jalousie, en ce bas monde, est commeCelui qui dort sans lampe ; il peut sentir le brasQui vient pour le frapper, mais il ne le voit pas.

Alfred de Musset
(Portia)

#25176
J'ai perdu ma force et ma vie,et mes amis et ma gaieté ;J'ai perdu jusqu'à la fiertéqui faisait croire à mon génie.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25177
Ma force à lutter s'use et se prodigue.Jusqu'à mon repos, tout est un combat.

Alfred de Musset
(Derniers vers)

#25178
Épargne-toi du moins le tourment de la haine ;A défaut du pardon, laisse venir l’oubli.

Alfred de Musset
(La nuit d’octobre)

#25179
La bouche garde le silencePour écouter parler le coeur.

Alfred de Musset
(La Nuit de mai)

#25180
Ce n'est quelquefois qu'en perdant ceux qu'on aime qu'on sent combien on les aimait.

Alfred de Musset
(Emmeline)

#25181
L'incertitude est de tous les tourments le plus difficile à supporter.

Alfred de Musset
(La Confession d'un enfant du siècle)

#25182
On prend toujours le mal pour éviter le pire.

Alfred de Musset
(A quoi rêvent les jeunes filles)

#25183
Pour réussir dans le monde, retenez bien ces trois maximes : voir, c'est savoir ; vouloir, c'est pouvoir ; oser, c'est avoir.

Alfred de Musset
(Barberine)

#25184
Douces ou amères, les larmes soulagent toujours.

Alfred de Musset
(Un caprice)

#25185
L'amour vit d'inanition et meurt de nourriture.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25186
Un souvenir heureux est peut-être sur terrePlus vrai que le bonheur.

Alfred de Musset
(Poésies)

#25187
La plus belle fille ne donne que ce qu'elle a et l'ami le plus dévoué se tait sur ce qu'il ignore.

Alfred de Musset
(Carmosine)

#25188
La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25189
La vie, comme l'eau de mer, ne s'adoucit qu'en s'élevant vers le ciel.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25190
A quoi sert de se quereller, quand le raccommodement est impossible ? Le plaisir des disputes, c'est de faire la paix.

Alfred de Musset
(On ne badine pas avec l’amour)

#25191
On est si bien, tout nu dans une large chaise.

Alfred de Musset
(Namouna)

#25192
De quelque fol amour qu’on ait rempli son coeurLe désir est parfois moins grand que le bonheur.

Alfred de Musset
(Portia)

#25193
L’enfant marche joyeux, sans songer au chemin ;Il le croit infini, n’en voyant pas la fin.

Alfred de Musset
(Premières poésies)

#25194
L’homme sans patience, c’est comme une lampe sans huile.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25195
Le seul vrai langage au monde est un baiser.

Alfred de Musset
(Poésies Nouvelles : Idylle)

#25196
Le perfection n'est pas plus faite pour nous que l'immensité.

Alfred de Musset
(La Confession d'un enfant du siècle)

#25197
A l'âge où le coeur est riche, on n'a pas les lèvres avares.

Alfred de Musset
(Le Chandelier)

#25198
Quelquefois, il y a des sympathies si réelles que, se rencontrant pour la première fois, on semble se retrouver.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25199
Je tâche d'y voir double, afin de me servir à moi-même de compagnie.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25200
Je suis triste comme un lendemain de fête.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25201
On peut bien être ridicule quand on aime, mais on ne l'est pas quand on souffre.

Alfred de Musset
(L'Âne et le ruisseau)

#25202
Partons, dans un baiser, pour un monde inconnu.

Alfred de Musset
(La Nuit de mai)

#25203
On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime.

Alfred de Musset
(On ne badine pas avec l’amour)

#25204
Dans un coeur troublé par le souvenir, il n'y a pas de place pour l'espérance.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25205
J’aime peu les proverbes, parce que ce sont des selles à tous chevaux ; il n’en est pas un qui n’ait son contraire.

Alfred de Musset
(Emmeline)

#25206
Le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange.

Alfred de Musset
(On ne badine pas avec l’amour)

#25207
Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées.

Alfred de Musset
(On ne badine pas avec l’amour)

#25208
C'est tenter Dieu que d'aimer la douleur.

Alfred de Musset
(Stances à la Malibran)

#25209
L'amour est immortellement jeune, et les façons de l'exprimer sont et demeureront éternellement vieilles.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25210
Un peuple malheureux fait les grands artistes.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25211
Chacun a ses lunettes ; mais personne ne sait au juste de quelle couleur en sont les verres.

Alfred de Musset
(Fantasio)

#25212
Le plus grand danger que courent les gens qui sont habituellement un peu fous, c'est de le devenir tout à fait par instants.

Alfred de Musset
(Croisilles)

#25213
Mes chers amis, quand je mourrai,Plantez un saule au cimetière.J'aime son feuillage éploré.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25214
Crois-tu qu'on oublie autant qu'on le souhaite ?

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25215
Sais-tu où vont les larmes des peuples, quand le vent les emporte ?

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25216
Je puis délibérer et choisir, mais non revenir sur mes pas quand j'ai choisi.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25217
Après avoir souffert, il faut souffrir encore ;Il faut aimer sans cesse, après avoir aimé.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles - La Nuit d'Août)

#25218
Tous les hommes ne sont pas capables de grandes choses, mais tous sont sensibles aux grandes choses.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25219
Jours de travail ! Seuls jours où j'ai vécu !

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25220
Celui qui sait aimer peut seul savoir combien on l'aime.

Alfred de Musset
(La quenouille de Barberine)

#25221
Je hais comme la mort l'état de plagiaire ;Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre.

Alfred de Musset
(La coupe et les lèvres)

#25222
Le seul bien qui me reste au mondeEst d'avoir quelquefois pleuré.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles : Tristesse)

#25223
On naît poète, on devient prosateur.

Alfred de Musset
(Le poète déchu)

#25224
Ah ! Frappe-toi le coeur, c'est là qu'est le génie.

Alfred de Musset
(Premières Poésies)

#25225
Puisque tu sais chanter, ami, tu sais pleurer.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25226
Je répète, avec le vieux proverbe : celui qui aime et qui est aimé est à l'abri des coups du sort !

Alfred de Musset
(Bettine)

#25227
On a bouleversé la terre avec des mots.

Alfred de Musset
(A quoi rêvent les jeunes filles)

#25228
Croyez-moi, les enfants n'aiment que l'inconnu.

Alfred de Musset
(A quoi rêvent les jeunes filles)

#25229
Je parle beaucoup au hasard : c'est mon plus cher confident.

Alfred de Musset
(Fantasio)

#25230
On ne badine pas avec l'amour.

Alfred de Musset
(Titre de la comédie)

#25231
Il vaut mieux faire que dire.

Alfred de Musset
(Pierre et Camille)

#25232
Je ne fais pas grand cas, pour moi, de la critique.Toute mouche qu'elle est, c'est rare qu'elle pique.

Alfred de Musset
(La Coupe et les lèvres)

#25233
Le bien perdu rend l'homme avare.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25234
Aimer est le grand point, qu'importe la maîtresse ?Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ?

Alfred de Musset
(La coupe et les lèvres)

#25235
Où le père a passé, passera bien l'enfant.

Alfred de Musset
(Souvenirs)

#25236
Une larmf$est ce qu'il y a de plus vrai, de plus impérissable au monde.

Alfred de Musset
(Le poète déchu)

#25237
Ce qui vient du coeur peut s'écrire, mais non ce qui est le coeur lui-même.

Alfred de Musset
(Emmeline)

#25238
Ce qu'on fait maintenant, on le dit ; et la cause En est bien excusable : on fait si peu de choses !

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25239
Tout le réel pour moi n'est qu'une fiction.

Alfred de Musset
(A quoi rêvent les jeunes filles)

#25240
L'enthousiasme est frère de la souffrance.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25241
Ah ! celui-là vit mal qui ne vit que pour soi !

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25242
La bouche accuse, le coeur absout.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25243
Le bien a pour tombeau l'ingratitude humaine.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25244
Entre presque oui et oui, il y a tout un monde.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25245
Quoi de plus léger qu'une plume ? La poussière. - De plus léger que la poussière ? Le vent - De plus léger que le vent ? La femme. - De plus léger que la femme ? Rien.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25246
Le retour fait aimer l'adieu.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25247
Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25248
Tout vrai regard est un désir.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25249
Qu'est-ce donc oublier si ce n'est pas mourir ?

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25250
Tout ce qui était n'est plus ; tout ce qui sera n'est pas encore.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25251
Prenez le temps comme il vient, le vent comme il souffle, la femme comme elle est.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25252
Doutez, si vous voulez, de celui qui vous aime,D'une femme ou d'un chien, mais non de l'amour même.

Alfred de Musset
(La coupe et les lèvres)

#25253
Alors s'assit sur un monde en ruine une jeunesse soucieuse.

Alfred de Musset
(La Confession d'un enfant du siècle)

#25254
On croit au sang qui coule, et l'on doute des pleurs.

Alfred de Musset
(Premières poésies)

#25255
Aimer, c'est se donner corps et âme.

Alfred de Musset
(La confession d'un enfant du siècle)

#25256
L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime.

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25257
Nu comme un plat d'argent, - Nu comme un mur d'église, - Nu comme le discours d'un académicien.

Alfred de Musset
(Namouna)

#25258
On peut avoir le dernier mot avec une femme, à la condition que ce soit oui.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25259
Je n'appartiens à personne ; quand la pensée veut être libre, le corps doit l'être aussi.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25260
Allons ! Vive l'amour que l'ivresse accompagne !

Alfred de Musset
(Poésies nouvelles)

#25261
S'il y a quelqu'un là-haut, il doit bien rire de nous tous ; cela est très comique, très comique, vraiment.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25262
Il n'y a point de maître d'armes mélancolique.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25263
Pour dormir tranquille, il faut n'avoir jamais fait certains rêves.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25264
La moitié d'un violent amour, c'est presque une amitié.

Alfred de Musset
(Les marrons du feu)

#25265
Prenez garde à un homme qui demande un pardon ; il peut avoir si aisément la tentation d'en mériter deux !

Alfred de Musset
(La Nuit vénitienne)

#25266
Il n'y a de vrai au monde que de déraisonner d'amour.

Alfred de Musset
(Il ne faut jurer de rien)

#25267
Les deux grands secrets du bonheur : le plaisir et l'oubli.

Alfred de Musset
(La Nuit vénitienne)

#25268
Tous les amours ne se ressemblent pas. Toutes les maîtresses se ressemblent.

Alfred de Musset
(La roman par lettres)

#25269
Dis-moi un peu d'où vient cette manie de n'être jamais ce qu'on est ?

Alfred de Musset
(La roman par lettres)

#25270
Une femme est comme votre ombre, courez après, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous court après !

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25271
Une femme pardonne tout, excepté qu’on ne veuille pas d’elle.

Alfred de Musset
(Source inconnue)

#25272
L’homme est un apprenti, la douleur est son maître,Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.

Alfred de Musset
(La Nuit d’Octobre)

#25273
Qui aima jamais porte une cicatrice.

Alfred de Musset
(Lettre à Monsieur de Lamartine)

#25274
Les grands artistes n’ont pas de patrie.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25275
La vie est un sommeil, l’amour en est le rêve, Et vous aurez vécu, si vous avez aimé.

Alfred de Musset
(A quoi rêvent les jeunes filles)

#25276
Qu’importe de quoi parlent les lèvres, lorsqu’on écoute les coeurs se répondre.

Alfred de Musset
(La Confession d’un enfant du siècle)

#25277
Ne pouvant se corriger de sa folie, il tentait de lui donner l’apparence de la raison.

Alfred de Musset
(Les deux maîtresses)

#25278
Il est doux de se croire malheureux, quand on n’est que vide et ennuyé.

Alfred de Musset
(La Confession d’un enfant du siècle)

#25279
Le mal existe, mais pas sans le bien, comme l’ombre existe, mais pas sans la lumière.

Alfred de Musset
(Lorenzaccio)

#25280
Qui ne sait que la nuit a des puissances telles, que les femmes y sont, comme les fleurs, plus belles.

Alfred de Musset
(Portia)

#25281
Etrange chose que l’homme qui souffre veuille faire souffrir ce qu’il aime !

Alfred de Musset
(La confession d’un enfant du siècle)

#25282
C’est que la sagesse est un travail, et que pour être seulement raisonnable, il faut se donner beaucoup de mal, tandis que pour faire des sottises, il n’y a qu’à se laisser aller.

Alfred de Musset
(Margot)

#25283
Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur.

Alfred de Musset
(La Nuit de mai)

#25284
Malheur à celui qui, au milieu de la jeunesse, s'abandonne à un amour sans espoir.

Alfred de Musset
(Les Caprices de Marianne)

Seth Messenger : Citations de Alfred de Musset

Alfred de Musset a dit :